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Les histoires de Joséphine
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Les histoires de Joséphine
1 juin 2014

Pauline page 64 : Fifine

Joséphine entretient une correspondance avec le Parisien, Maximilien, qui l'a tant fait rêver avec ses histoires "vraies".

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Quatre vingt dix ans plus tard, Joséphine se souvient de ce petit poème, écrit sur une carte postale ! Je crois que c'est à cette époque là que Joséphine s'est mis à considérer la poésie comme le sommum de l'élégance et du rafinement. Et quatre vingt ans plus tard, Joséphine écrira elle aussi quelques poèmes (édités pour son anniversaire des cent ans en 2009).

Et donc tous les écrits de Monsieur Révond ont été perdus, jetés. Tous les écrits de ce Parisien si cher au coeur enfantin de joséphine. Mais tout ça, c'est "plus tard, bien plus tard". Car il nous reste encore beaucoup de choses à découvrir de la vie de Pauline.

Il est temps cependant de faire une petite pause dans le récit, une "intersaison" comme je les appelle. Je vous laisse la découvrir dès la semaine prochaine !

 

Remarques : Merci encore à l'association Savès Patrimoine pour m'avoir permis de scanner toutes ces cartes postales de Rieumes qui agrémentent mon roman. C'est fou le nombre de cartes postales qui ont pu être éditées sur des sujets les plus divers, sur les lieux les plus communs, au tout début du vingtième siècle. C'est une mine d'or !

Mon gros problème, c'est de m'y retrouver dans la chronologie : ne pas prendre une photo de 1930 pour une photo de 1910. Tel muret n'existait pas à cette époque, tel arbre a été coupé telle année, la gare a fonctionné de telle année à telle année, telle fête n'avait plus lieu après telle date... La vie dans les villages s'est très rapidement transformée au cours de cette période, et ce n'est pas parce que la photo est en noir et blanc qu'elle est nécessairement ancienne ! Le diable se cache dans les détails, et j'essaye tant que faire se peut de concilier les contraintes de la narration, les matériaux limités dont je dispose, et la réalité historique ! Un grand merci à Roland M. de Rieumes pour m'avoir aidé dans ce travail.

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